RetranchĂ©edans sa belle maison normande, loin de ses deux enfants, Sophie Davant a un surprenant rituel pour maintenir le contact avec ses admirateurs. Pas question de rester coupĂ©s d’eux durant une longue pĂ©riode. Et il a Ă©tĂ© prĂ©cisĂ© par un magazine people. L’animatrice vedette de « France 2 » est Ă  l’honneur dans « Ici Paris Heureusement l’animatrice de tĂ©lĂ©vision ne s’est pas laissĂ© faire. L’art de la rĂ©partie. Ce mardi 9 aoĂ»t, Sophie Davant a postĂ© une photo sur Instagram en compagnie du chef Ă©toilĂ© Newsde stars ConfinĂ©e en Normandie, Sophie Davant inaugure « Affaire conclue Ă  la maison » Agence 6 Media | lun. 13 avril 2020 Ă  12h05 - Mis Ă  jour le lun. 13 avril 2020 Ă  13h12 cash. Depuis mi-avril, "Affaire conclue" se prolonge avec une sĂ©quence en direct, animĂ©e par Sophie Davant, tournĂ©e via les rĂ©seaux sociaux. Elle met en relation vendeurs et acheteurs d’objets anciens, prĂ©cieux ou saugrenus. Une façon de garder le lien avec le public. Entretien avec l' voilĂ  donc camĂ©rawoman, coiffeuse et maquilleuse
 Comment cette nouvelle sĂ©quence en direct, sur France 2, s’est-elle mise en place ? Sophie Davant CamĂ©rawoman, non. Coiffeuse et maquilleuse, oui, mais je sais Ă  peu prĂšs le faire. J’ai parlĂ© assez vite de cette idĂ©e avec Jean-Louis Blot, mon producteur, en voyant tous ces Instagram live, ce que faisait aussi Cyril Lignac, sur M6. Je trouvais que c’était un bon moyen de garder le lien avec les tĂ©lĂ©spectateurs en cette pĂ©riode compliquĂ©e. Vous intervenez donc depuis chez vous, en Normandie, oĂč vous ĂȘtes confinĂ©e. Que voit-on derriĂšre vous ? Je tiens Ă  prĂ©ciser une chose je suis confinĂ©e en Normandie, oĂč j’habite, et oĂč j’étais quand les mesures de confinement ont Ă©tĂ© annoncĂ©es. Je n’ai donc pas fui Paris, comme certains voudraient le faire entendre. Pour la sĂ©quence, j’ai choisi l’endroit le plus favorable, sans trop dĂ©voiler mon intĂ©rieur. Autour de moi, il y a des photos de piscine, prises par le talentueux Michel TrĂ©het, qui est normand, et une toile, une marine achetĂ©e dans Affaire conclue. Dites-nous comment se prĂ©pare cette Ă©mission ? La technique n’est pas encore tout Ă  fait au point nous avons trop de dĂ©lais entre les retours de son, mais ce souci technique devrait ĂȘtre peu Ă  peu rĂ©glĂ©. Avant d’ĂȘtre en direct, je discute avec les vendeurs, les commissaires-priseurs et les acheteurs. On se cale pour essayer que ce soit le plus fluide possible Ă  l’écran. Tout cela prend du temps. Dans cette organisation, trouvez- vous le temps de continuer Ă  Ă©crire le livre que vous aviez commencĂ© au dĂ©but du confinement ? Non, je n’écris plus depuis quelques jours. Il faut ĂȘtre dans de bonnes dispositions, et l’émission m’accapare une partie de la journĂ©e. Et ce livre, quel en sera le sujet ? Je ne veux rien dĂ©voiler. Un roman ? Non, pas un roman. Vous ĂȘtes seule dans votre maison. Quels sont donc vos remĂšdes Ă  la mĂ©lancolie ? Je n’ai pas le temps d’ĂȘtre mĂ©lancolique ni de m’ennuyer. Pour cela, je structure mes journĂ©es le matin, j’écoute les infos en faisant 45 minutes de sport Ă  domicile, des exercices de musculation. Et je marche tous les jours, dans le bon respect des rĂšgles, autour de chez moi, pas plus d’une heure. Je fais un peu de cuisine, comme mes followers d’Instagram peuvent le voir. Sinon, je me suis repassĂ© le film Casablanca avec Bogart et Bergman, 1942, et j’ai dĂ©couvert, sur Netflix, un film turc conseillĂ© par mon fils, 7. Kogustaki Mucize de Mehmet Ada Öztekin, 2019, qui m’a fait pleurer. Et j’essaie aussi de rattraper mon retard en matiĂšre de sĂ©ries. Et lĂ , je suis sur Le Bureau des lĂ©gendes. Vous disiez ĂȘtre disponible si France 2 lançait une Ă©mission de solidaritĂ©. Ça se prĂ©cise ? Non. Pour le moment, je n’ai pas Ă©tĂ© sollicitĂ©e, mais je suis, bien sĂ»r, disponible. Je me sens, comme beaucoup de gens, inutile. Je voudrais aider. Avec la production de l’émission La Lettre, on envisage un numĂ©ro spĂ©cial consacrĂ© aux soignants et Ă  ceux qui se mettent en danger pour nous tous les jours. Interview FrĂ©dĂ©rick Rapilly Quel est l’origine de son prĂ©nom ? C’était l’annĂ©e des D » dans le calendrier et comme nous trouvions le prĂ©nom DJ rigolo, nous l’avons transformĂ© en DJette. Votre premiĂšre rencontre avec DJette ? Nous sommes allĂ©s la chercher dans un Ă©levage situĂ© dans le 14Ăšme arrondissement de Paris. Il y avait une multitude de bichons maltais tous plus mignons les uns que les autres et Djette est venue vers nous. Nos regards se sont croisĂ©s et il y a eu une sorte d’alchimie qui a fait que nous l’avons choisie. Quels moments aimez-vous partager avec elle ? Je suis toujours fascinĂ©e de voir Ă  quel point la prĂ©sence d’un animal apaise quand on rentre stressĂ©e du boulot. Être accueillie par l’amour inconditionnel d’un chien est un vĂ©ritable moment de partage Ă  la fois apaisant et nourrissant. J’aime bien marcher avec elle au bord de la mer lorsque je me rends dans ma maison en Normandie. Je mesure sa joie quand on se rapproche de cet endroit et elle sait ce qui va se passer. On fait de longues balades sur la plage et il y a tout un rituel qui s’est instaurĂ© liĂ© Ă  nos annĂ©es de complicitĂ©. Elle fait tout ce que je lui interdit de faire en me regardant du coin de l’Ɠil se rouler dans le sable, y enfouir sa tĂȘte, gratter
 Elle sait bien que c’est dĂ©fendu et c’est devenu une sorte de jeu entre nous. Plus je rĂąle, plus elle le fait ! Tous ces moments de complicitĂ© et d’échanges sont Ă©tonnants. Son trait de caractĂšre qui vous fait fondre et/ou qui vous Ă©nerve ? Elle est trĂšs lente et met du temps Ă  se mettre en route. Elle est comme un diesel, une fois qu’elle est lancĂ©e pour se balader elle suit mais parfois ça prend du temps et ça m’agace ! Sinon c’est une adorable petite chienne intelligente et espiĂšgle. Votre meilleur souvenir avec DJette ? Quand toute petite nous l’avons emmenĂ©e en Corse et que nous avons affrontĂ© des tempĂȘtes avec des grosses vagues Ă  bord d’un Zodiac. Elle se collait Ă  moi et nous Ă©tions trempĂ©es mais elle n’a pas bronchĂ©, elle est vraiment tout terrain ! Quels sont vos points communs ? Toutes les deux nous aimons ĂȘtre tranquilles et nous recherchons les endroits oĂč il n’y a personne ! Sinon elle a hĂ©ritĂ© de mon espiĂšglerie, c’est une chienne qui a de l’humour. On leur transmet ce que l’on est ! Quels sont vos spots de promenades prĂ©fĂ©rĂ©s Ă  Paris ? A Paris, c’est un peu compliquĂ© parce que les parcs sont interdits aux chiens alors je la balade autour de mon quartier dans le 8Ăšme . Je l’emmĂšne lĂ  oĂč il y a un peu d’herbe comme l’avenue Foch oĂč les chiens se rĂ©galent sinon je vais au bois de Boulogne. Assiste-t-elle Ă  vos Ă©missions ? Il m’arrive souvent de l’emmener avec moi sur les plateaux et elle reste tranquillement Ă  mes pieds sous la table. Il lui arrive parfois d’aboyer quand je suis Ă  l’antenne parce qu’elle a soit disant vu entrer un ennemi alors elle me dĂ©fend. Elle aime aussi le coin cuisine car elle ne dit jamais non Ă  un petit reste qui tombe. Si elle avait la parole, que dirait-elle de vous ? Elle me dirait maman je t’aime » ! CrĂ©dits photos Getty Images Si vous ĂȘtes fan de brocante et fidĂšle de l’émission de France 2 Affaire Conclue » prĂ©sentĂ©e chaque aprĂšs-midi par Sophie Davant, vous connaissez sans doute Delphine FrĂ©maux-Lejeune. Elle fait partie des commissaires-priseurs qui interviennent pour expertiser les objets amenĂ©s par les vendeurs. Si vous ĂȘtes fan de brocante et fidĂšle de l’émission de France 2 Affaire Conclue » prĂ©sentĂ©e chaque aprĂšs-midi par Sophie Davant, vous connaissez sans doute Delphine FrĂ©maux-Lejeune. Elle fait partie des commissaires-priseurs qui interviennent pour expertiser les objets amenĂ©s par les vendeurs. Mais savez-vous que la professionnelle travaille en Normandie, aprĂšs avoir passĂ© une dizaine d’annĂ©e Ă  Yvetot, c’est dĂ©sormais Ă  Rouen qu’elle est Ă  la tĂȘte de sa maison de vente. Ce matin, nous avons rendez-vous dans le quartier Jouvenet de Rouen, Delphine FrĂ©maux-Lejeune, commissaire-priseur doit faire l'inventaire des dĂ©pendances de cette maison bourgeoise pour un particulier...RĂ©colter des objets Delphine FrĂ©maux-Lejeune, commissaire-priseur rouennaise d’Affaire conclue sur France 2 - Partie 1 Dans une petite piĂšce sont entreposĂ©s entre 50 et 80 tableaux que la commissaire-priseur va dĂ©crire pour les estimer. Il s’agit de la collection de toute une vie, ils seront ensuite vendus lors d’une vente spĂ©cifique. Aujourd'hui elle est venue jeter un premier coup d'oeil...Juste Ă  cĂŽtĂ© la professionnelle a Ă©galement la charge de vider un dĂ©barras; y sont entassĂ©s pĂšle mĂȘle des lustres, des chaises, une malle, une vieille radio, des valises... La commissaire-priseur repĂšre en un coup d’Ɠil ce qui pourra se vendre, le reste sera confiĂ© Ă  des associations ou partira en chaque fois, c’est une chasse au trĂ©sor, on ne sait jamais ce qu’on va dĂ©couvrir, c’est ça qui m’intĂ©resse, parfois on trouve une FrĂ©maux-LejeuneAujourd’hui elle aura un coup de cƓur pour un grand tableau aux lignes modernes reprĂ©sentant les falaises normandes C’est ce qui plaĂźt actuellement, il partira sans problĂšme ».Si le mĂ©tier de commissaire-priseur consiste Ă  vendre des objets aux enchĂšres, l’une des premiĂšres Ă©tapes pour les professionnels est de rĂ©colter des cela deux voies se distinguent, celle oĂč des particuliers amĂšnent des choses et celle, souvent en partenariat avec les notaires, oĂč la commissaire-priseur est chargĂ©e d’évaluer des biens et de vider complĂ©tement des l’occasion de divorces, de dĂ©cĂšs ou de dĂ©mĂ©nagements, la professionnelle rĂ©alise ainsi des fait partie d’un maillon d’une chaine quand les gens veulent se dĂ©barrasser de tout ce qui est mobilierDelphine FrĂ©maux-Lejeune Je vide une trentaine de maison par an ». La commissaire-priseur se rĂ©munĂšre alors sur un pourcentage des objets qu’elle expertises gratuites Delphine FrĂ©maux-Lejeune, commissaire-priseur rouennaise d’Affaire conclue sur France 2 - Partie 2 Autre maniĂšre de rĂ©colter des objets, les expertises. Delphine FrĂ©maux-Lejeune organise chaque semaine des journĂ©es d’expertise gratuite pour le grand public. Le lundi, c’est dans sa maison de vente de Rouen qu’elles ont lieu, mais la professionnelle se dĂ©place Ă©galement dans la rĂ©gion comme Ă  Dieppe oĂč elle organise ces expertises dans un espace de co me mets Ă  disposition des gens. Je fais de la pĂ©dagogie autour de l’objet comme dans Affaire Conclue »Delphine FrĂ©maux-Lejeune C’est cela qui m’intĂ©resse. MĂȘme un objet Ă  10 euros peut ĂȘtre intĂ©ressant. J’ai toujours fait cela et je le fais de plus en plus.»Ce lundi, les rendez-vous se succĂšdent
.Pas mal de bijoux comme cette femme et sa tante, venues avec les bijoux hĂ©ritĂ©s de la grand-mĂšre, On ne les porte pas, on est venues pour se renseigner sur leur valeur ». Un collier de perles de culture, des bracelets en or, des colliers et un superbe solitaire. La commissaire-priseur sort alors son matĂ©riel pour expertiser les pierres, notamment une machine qui permet de dĂ©terminer si une pierre est bien un diamant
. Si c’est vert, c’est un vrai. » La petite lumiĂšre passe au vert, tout le monde est rassurĂ©. C’est une belle bague. La monture est moderne. Elle se vendra facilement. Vu la taille de la pierre, je l’estime entre 4 et 6000 euros pour donner une estimation plus prĂ©cise j’aurai besoin de passer un peu plus de temps. »A la fin du rendez-vous la professionnelle leur demande, si elles sont prĂȘtes Ă  lui confier. Pas aujourd’hui mais peut-ĂȘtre plus tard ». Les bijoux se retrouveront inscrits sur une vente prestige », rĂ©servĂ©e aux objets de valeur, quelques semaines plus tard
.J’ai une vraie idĂ©e de ce qui se vend et Ă  quel prix. Ce qui est complexe pour les gens qui viennent avec des objets, c’est qu’il y a la valeur affective et la valeur financiĂšre, je les Ă©claire."Delphine FrĂ©maux-LejeuneDiplĂŽmĂ©e en gemmologie, Delphine FrĂ©maux-Lejeune a fait pas moins de 10 ans d'Ă©tude avant de devenir commissaire-priseur, des Ă©tudes d'histoire de l'art mais aussi de pour autant, expertiser certains objets ne se fait pas toujours au premier coup d'Ɠil. Un plus tard un monsieur venu avec deux statues de chien. Elles viennent de mon beau-pĂšre. Cela ne correspond pas Ă  mon intĂ©rieur, je dĂ©sire vous les confier pour les vendre. A premiĂšre vue pour la commissaire-priseur, deux bronzes
.mais aprĂšs avoir soupesĂ© et bien observĂ© les piĂšces, l’une est bien en bronze mais l’autre en ces expertises sont gratuites, La commissaire-priseur se rĂ©munĂšre sur un pourcentage au moment de la vente. Il y a quelques mois elle s’est ainsi vu confier un tapis de 1630, quasi neuf, rĂ©alisĂ© avec des pigments naturels, il a Ă©tĂ© adjugĂ© pour plus de 100 000 prĂ©paration des ventes, un travail de fourmis Delphine FrĂ©maux-Lejeune, commissaire-priseur rouennaise d’Affaire conclue sur France 2 - Partie 3 Une fois que les objets ont Ă©tĂ© confiĂ©s par leur propriĂ©taire, commence alors pour la commissaire-priseur et son Ă©quipe un autre travail, celui de classification et de prĂ©paration des milliers d’objets rentrent dans la maison de vente chaque annĂ©e, pour ne pas les Ă©garer ni les mĂ©langer, dĂšs qu’il arrive l’objet est dĂ©crit par un commissaire-priseur et Ă©tiquetĂ© par deux numĂ©ros, un premier qui correspond au client, le second au numĂ©ro du dĂ©pĂŽt du tous sont pris en photos, une Ă©tape devenue essentielle. 10 000 Ă  15 000 photos sont effectuĂ©es chaque jour-lĂ  dans les locaux de la maison de vente, c'est sĂ©ance photo pour Anne, elle a Ă©tĂ© recrutĂ©e il y a quelques mois en apprentissage pour faire face Ă  l'Ă©volution des besoins de l'entrepriseLes photos sont devenues trĂšs importantes avec le dĂ©veloppement des ventes en ligne, notamment avec les confinements de ces derniers mois. Des ventes en ligne dont le montant a augmentĂ© de 30 Ă  40%, ces derniers mois ouvrant la voie Ă  un nouveau public
. "Donner une deuxiĂšme vie aux objetsCes ventes permettent aussi d'Ă©couler des objets qui n'avaient pas trouvĂ© preneur lors des enchĂšres classiques, elles donnent plus de visibilitĂ© aux objets. PlutĂŽt que de brader des choses lors des ventes courantes, je prĂ©fĂšre mettre en ligne certains articles. Je participe ainsi au cycle des objets pour leur donner une seconde vie. C’est de l’économie circulaire, tout ça doit toucher plus de monde. Il faut que ça redevienne Ă  la mode. On trouve des objets des au fond des placards et on les met en valeur »VoilĂ  une dizaine d’annĂ©e que Delphine FrĂ©maux-Lejeune est Ă  la tĂȘte de sa maison d’enchĂšres, elle travaille 50 Ă  70 heures par semaine. Un rythme qui a augmentĂ© avec le tournage de l’émission Affaire Conclue » mais elle reste toujours aussi passionnĂ©e. Pour rien au monde je ferai autre chose, j’aime Ă  la fois les histoires de famille et les histoires d’objet, ce qui m’anime c’est la chasse au trĂ©sor ».Le marathon de la vente aux enchĂšres Delphine FrĂ©maux-Lejeune, commissaire-priseur rouennaise d’Affaire conclue sur France 2 - Partie 4 VoilĂ  quelques mois que Delphine FrĂ©maux-Lejeune a installĂ© sa salle des ventes Normandy Auction Ă  Rouen, avant elle exerçait Ă  dans cet ancien garage devenu salle des ventes, des cartons par dizaine et pas mal de bric Ă  aprĂšs-midi a lieu une vente courante », avec des objets de toutes sortes, meubles, vaisselles, livres, disques
. provenant de successions. Elle se distingue des ventes prestiges avec des objets de valeur supĂ©rieure, bijoux, tableaux, piĂšces qui ont droit Ă  un matinĂ©e est rĂ©servĂ©e Ă  l'exposition afin que les acheteurs puissent regarder les objets de prĂ©s. Certains objets de faible valeur sont rĂ©unis dans des cartons, c’est le lot complet qui est alors vendu. DĂšs l’ouverture les brocanteurs viennent faire du repĂ©rage
. » J’ai vu 2-3 objets intĂ©ressants, j’espĂšre qu’on aura un petit prix ».C’est toujours comme ça qu’on trouve des petites merveilles en chineurIl est 14h pour la commissaire-priseur c'est le dĂ©but d'un marathon. Pas moins de 300 lots sont proposĂ©s. Professionnels comme amateurs sont Ă  l'affut de la bonne affaire Parfois les enchĂšres montent trĂšs vite, d’autres fois la professionnelle doit cĂ©der deux cartons pour le prix d’un. 90% des objets vendus par la commissaire-priseur valent entre 10 Ă  et 50 ce type de vente il est rare de repartir les mains brocanteur a achetĂ© une trentaine de cartons pour un peu plus cher que ce qu'il aurait souhaité  J’avais repĂ©rĂ© des choses au fond des cartons mais je n’étais pas le seul Ă  les avoir vues »Un collectionneur a lui rempli sa voiture
 C’est les prix qui font acheter on peut meubler sa maison pour pas cher.»A 17h, prĂšs de 100% des articles sont partis, la salle est en train de se vider, La professionnelle achĂšve ainsi 3h de vente non-stop 
.. Le but c’est que la salle soit vide. Demain il y a un autre camion rempli qui va arriver, c’est un Ă©ternel recommencement. »AprĂšs 20 ans d'expĂ©rience Delphine FrĂ©maux-Lejeune reste toujours aussi enthousiaste et avide de faire partager sa passion pour les objets et leur maison de vente Ă  RouenSavez-vous qu'aprĂšs avoir passĂ© une dizaine d’annĂ©e Ă  travailler Ă  Yvetot, c’est dĂ©sormais Ă  Rouen que la commissaire-priseur Delphine FrĂ©maux-Lejeune est Ă  la tĂȘte de sa maison de vente.

photos de la maison de sophie davant en normandie