Ma mère, tu m’as enfanté homme de querelle pour tout le pays » (cf. Jr 15, 10) (Jr 38, ) Lecture du livre du prophète Jérémie. En ces jours-là, pendant le siège de Jérusalem, les princes qui tenaient Jérémie en prison dirent au roi Sédécias : « Que cet homme soit mis à mort : en parlant comme il le fait, il démoralise tout ce qui reste de combattant dans la ville
Avecde la rosée dans les yeux, on perçoit la beauté des fleurs même quand elles courbent la tête. Il s’agit du quatrième album d’une série de onze. Et l’émotion continue de monter! TITRES. 1. Regarde 2. Les amours impossibles 3. La niche, la balançoire et la piscine 4. Dormir tout habillée 5. Pas assez pour moi 6. La gardienne 7. Face à la lumière 8. Dix mille pardons 9
Vay Tiền Nhanh Ggads. Roda Fawaz est de retour, plus flamboyant que jamais sous l’influence du très baroque Pietro Pizzuti. Dans Dieu le père, créé au Théâtre de Poche, il trace le portrait de sa mère tout en interrogeant son propre rapport à la religion. Hyper personnel, universel et diablement touchant. Depuis sa révélation dans On the Road… A Prix de la critique de la meilleure découverte en 2016, on savait que Roda Fawaz avait de l’abattage, qu’il pouvait à lui tout seul porter une galerie de personnages et résumer une existence entière, la sienne en l’occurrence. Le comédien pousse la performance un cran plus loin dans son nouveau spectacle Dieu le père, en s’alliant à Pietro Pizzuti, qui en signe la mise en scène, et au chorégraphe Yorgos Karamalegos pour la mise en mouvement lire aussi l’article du Vif. Le voici donc, virevoltant, en chemise fleurie, enfilant à l’occasion des escarpins pour un pas de danse voguing en discothèque ou une queue-de pie rouge pétant tombée du ciel. Apparemment infatigable, il bondit d’un cercle de lumière à l’autre comme il passe d’un interlocuteur à l’autre. Il y en a essentiellement trois. La première, autour de laquelle tout le spectacle tourne, c’est sa mère Ahlam, que le comédien ne pas lui-même mais qui est présente à travers la voix, caressante mais ferme quand il le faut, de Daniela Bisconti. Sa mère, Guinéenne, fiancée à 16 ans avec un Libanais qui lui fera quatre enfants -Roda est le troisième-, lui imposera un exil en Belgique et la polygamie avant de la quitter définitivement alors qu’elle est enceinte du quatrième. Une femme qui tracera son chemin malgré les obstacles, en puisant une partie de sa force dans la foi. Dieu, parlons-en puisque c’est le deuxième interlocuteur de Roda, qui s’adresse à lui par l’intermédiaire de son smartphone, se filmant en direct en gros plan et les images étant projetées sur le totem/stèle/monolithe sacré et désacralisé au centre de la scénographie. Et il n’est pas tendre avec le divin, le Roda. Face aux malheurs de sa mère, pourtant tellement dévouée, Dieu semble bien insensible, d’après ses dires. Mais aussi rancunier, possessif, cruel. Un genre de concentré de tous les défauts de la gent masculine dans un patriarcat. Une figure paternelle peu recommandable mais peut-être pas plus que son père lui-même. Troisième interlocuteur et le compte est bon le père, essentiellement absent, volage, autoproclamé self-made-man, avec qui -sa mère y tient- Roda doit garder le contact. C’est le comédien qui l’incarne, mais en transformant électroniquement sa voix façon Dark Vador autre père peu recommandable. Tout en retraçant le parcours d’une de ces femmes qui ont peu le droit à la parole dans la cité, c’est bien sûr de lui, emberlificoté dans cette trinité compliquée, que Roda Fawaz parle. Il le fait avec beaucoup de sincérité et d’humour, en jouant notamment sur le comique de répétition et se permettant même, à travers une brève scène de crime, un clin d’oeil à sa participation à la série policière made in RTBF Unité 42. Et par la même occasion, il s’affirme comme un auteur qui touche droit au coeur. Dieu le père jusqu’au 25 janvier au Théâtre de Poche à Bruxelles, et du 28 janvier au 2 février à la Vénerie à Bruxelles,
J'ai 20 ans J'ai la vie dont tout le monde rêve Sous le feu des projecteurs Toujours le sourire aux lèvres J'ai 20 ans Dans un monde où l'amour crève Je m'accroche à mes valeurs Sans jamais demander de trêve J'aurais toujours 20 ans Dans les yeux de ma mère, ma mère Chacune de ses larmes me pousse à la rendre fière, ma mère J'ai 20 ans J'ai la vie dont tout le monde parle Petit bout de femme je suis venue rapper ma flamme Mes 20 ans Moi je les ai vécus dans l'ombre Avec pour seule envie l'amour et puis de dévorer le monde Mais je n'aurai jamais 20 ans Dans les yeux de mon père, mon père Chacune de ses absences me pousse à la rendre fière, ma mère J'ai 20 ans Ils disent que j'ai la vie devant moi Que le bonheur est là-bas Qu'avec le temps va tout s'en va J'ai 20 ans Ils disent tu grandiras et tu verras Je vous le dis rien ne va Avec te temps va tout va mal À 20 ans Tu te mets à aimer les hommes Jusqu'au jour où ils te volent tes 20 ans Malgré le temps qui te cogne Toi tu donnes et tu donnes tes 20 ans À la vie à la mort Si ça peut prouver qu'ils ont tort, qu'ils ont tort De croire qu'à 20 ans tous les jeunes rêvent encore À 20 ans Tu te mets à aimer la vie C'est l'âge libre, t'as du vice Devant les risques t'esquives T'as 20 ans Et t'as la force des vainqueurs Et puis rien ne te fait peur Car on t'a déjà crevé le cœur T'as la vingtaine et t'es perdu sur la planète Tu rêves d'Adam et Ève Pas que de strass et paillettes T'as 20 ans T'es fragile mais t'es l'avenir de ce pays Tu sais ta vie c'est celle d'Amel et Mélanie Hier encore j'avais 20 ans Hier encore je voulais bouleverser les genres et marquer mon temps Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
Paroles de la chanson Paul Peri Les Yeux De Ma Mère lyrics Les Yeux De Ma Mère est une chanson en Français les yeux de ma mère - 1 - Il était tellement tellement grand Qu'on aurait pu croire par moment Qu'il voulait atteindre le ciel Il r'gardait pas mais il rêvait Il parlait pas mais il chantait Des choses qui parlaient de soleil Un jour il a regardé l'eau Il est monté sur un bateau Pour courir après l'aventure Alors les gars l'ont vu rêver Puis ils l'ont entendu chanter Les yeux levés vers la mâture Ah! la tendre chanson Que chantait le garçon. Refrain Les yeux de ma mère Les yeux de ma mie La voix de ma mère La voix de ma mie Les mains de ma mère Les mains de ma mie Sont pour moi Plus que la vie. - 2 - Le bateau a quitté le port Il a tourné le dos au nord A fendu l'eau du Pacifique De Liverpool à Panama Santiago, Tahiti, Cuba Traversé les Amériques S'il s'arrêta dans chaque port Il n'a jamais pu trouver l'or - - - - - - sans fortune Partant au gré de son désir Il entassa des souvenirs Pour s'en faire de beaux clairs de lune Et toujours la chanson Poursuivait le garçon. - 3 - Oui mais à force de chercher On finit toujours par trouver La fin de toutes les aventures Dans le fond on n'a jamais su Le pourquoi quand il s'est battu Contre des types à la peau dure Quelle belle bagarre on a vu là Ça volait partout en éclats On en parle encore je vous l'jure Puis la bagarre s'est terminée Par une balle qui s'est égarée En plein milieu d'son aventure Il reste la chanson Que chantait le garçon. - Interprète Paul Peri Crédits parole paroles ajoutées par YanRev
dans les yeux de ma mère paroles